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Cela aurait dû être un événement sans précédent en Corée du Sud. Vendredi 3 janvier, des dizaines de policiers et enquêteurs arrivent pour arrêter le président sud coréen Yoon Suk Yeol à son domicile, un mois, jour pour jour, après sa tentative infructueuse d’imposer la loi martiale. Mais les services de la sécurité présidentielle leur ont interdit l’accès à la résidence.

Après un face-à-face de près de cinq heures, le CIO s’est retiré. « Il était impossible d’exécuter le mandat d’arrêt dans le contexte de confrontation en cours », ont expliqué les procureurs, par ailleurs « préoccupés par la sécurité du personnel » et qui « regrettent l’attitude du suspect qui n’a pas répondu à la procédure légale ».

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