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Histoires Web mardi, janvier 21
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L’immense adolescent dégingandé qui passait son temps sur le parquet du palais des sports Maurice-Thorez de Nanterre a bien changé, mais il ne s’est pas égaré dans les entrailles de l’enceinte de son club formateur. C’est en star planétaire que Victor Wembanyama a débarqué, lundi 20 janvier, avec son équipe des San Antonio Spurs, en banlieue parisienne, pour un premier entraînement en amont des NBA Paris Games, sous les vivats de quelques poignées de jeunes revêtus de son maillot, qui rêvent sans doute d’un destin comme le sien.

« C’est un peu surréaliste de voir mes coéquipiers des Spurs là où j’ai passé tant de temps », a déclaré en souriant le joueur, qui a dit ressentir « beaucoup d’excitation » avant de disputer deux rencontres – jeudi 23 et samedi 25 janvier – sur le sol français. « J’ai l’impression que deux univers se rencontrent, et pour le moment, ça “matche” bien. »

Le rendez-vous est désormais solidement installé dans le calendrier. Depuis maintenant cinq ans – mais pour seulement quatre éditions, en raison de la crise liée au Covid-19 –, un gigantesque barnum arrive dans la grisaille parisienne de la fin du mois de janvier. Une fois par an, la NBA s’installe à Paris, une semaine durant, et y délocalise des rencontres de saison régulière sur le parquet du Palais omnisports de Paris-Bercy (Accor Arena). Nouveauté cette année, « Wembamania » oblige, les Spurs affronteront les Indiana Pacers à deux reprises, contre un seul match délocalisé jusque-là.

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