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Le plan s’est probablement déroulé comme la NBA le souhaitait, mais pas de la manière dont Victor Wembanyama l’avait imaginé. Le 74e All-Star Game de la Ligue professionnelle nord-américaine de basket, disputé dimanche 16 février à San Francisco (Californie), a vu la consécration de l’équipe surnommée les « vieux briscards » (les OGs pour « Original gangsters »), composée de superstars expérimentées comme Stephen Curry, Kevin Durant et James Harden, aux dépens d’une équipe au profil très international dans laquelle figurait le joueur français.
A l’issue d’un mini-tournoi entre quatre équipes – un format expérimenté par la Ligue pour redonner du piment à un événement en perte de vitesse –, celle de LeBron James, qui a annoncé son forfait pour blessure deux heures avant le premier match, s’est imposée en finale 41 à 25, atteignant en premier la barre fatidique des 40 points, instaurée dans le règlement de ce match de gala.
Avec 11 points inscrits pour son équipe, Victor Wembanyama, qui, à 21 ans, disputait son premier « match des étoiles » dès sa deuxième saison dans la ligue, a été fidèle à la promesse qu’il avait faite de prendre au sérieux cet événement, quitte à passer un peu à côté de son aspect festif.
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