« On va gagner là-bas ! », a lancé le milieu de terrain du Paris Saint-Germain (PSG) Vitinha. « On n’a rien à perdre (…) On peut retourner la situation », a renchéri son entraîneur, Luis Enrique. Les Parisiens ont immédiatement relevé la tête, mercredi 5 mars, après la défaite frustrante, à domicile, face à Liverpool (0-1), en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions de football (LDC). Une communication en forme de méthode Coué, pour se convaincre qu’ils peuvent se qualifier sur la pelouse des Reds, mardi 11 mars, lors du deuxième acte de leur affrontement.
Si la tâche s’annonce extrêmement ardue, les joueurs du PSG mettent en avant leur prestation au Parc des Princes, où ils sont parvenus à dominer largement l’équipe considérée en ce moment comme la meilleure d’Europe. Avec un objectif : instiller l’idée qu’ils pourraient de nouveau surclasser leurs adversaires dans le jeu, en se montrant cette fois suffisamment efficaces pour décrocher leur billet pour les quarts.
70 % de possession de balle, 27 tirs contre deux (pour Liverpool), 21 occasions contre deux… Au vu des chiffres, le club de la capitale peut nourrir l’espoir de rééditer sa performance de la saison passée. Après s’être incliné (2-3) face au FC Barcelone au Parc des Princes à l’aller, il l’avait emporté 1-4 au Stade olympique de Montjuic, validant sa qualification pour les demi-finales de la LDC. A l’époque, avant le match retour, Luis Enrique répétait déjà n’avoir « aucun doute » sur la capacité de son groupe à renverser la tendance.
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