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Histoires Web mercredi, février 19
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Lacrim a longtemps hésité à donner un lieu de rendez-vous pour l’apéro. Il ne connaît pas les « bons spots dans la capitale », se désole-t-il. Le rappeur français ne vient à Paris que pour travailler, enregistrer ses albums, en faire la promotion, ou, dorénavant, donner des concerts, comme le 19 février à l’Accor Arena. Avant, il ne pouvait pas partir en tournée. A cause de son passé de voyou, des fiches de recherche de la police nationale étaient régulièrement émises à son encontre. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Depuis le début de sa carrière, Karim Zenoud, son nom à l’état civil, a donc pris l’habitude de vivre entre Dubaï et le Maroc. « Trop difficile de sortir à Paris, même d’y avoir une vie privée », avoue la star du rap.

Avec son dernier disque d’or, Veni Vidi Vici (2024), ses cinq albums certifiés platine (100 000 exemplaires vendus) voire double platine avec Corleone (2014), ou triple avec Force & Honneur (2017), Lacrim est un des poids lourds du rap français. Un tonton flingueur à la voix rocailleuse, capable de raconter ses histoires de « zipette de Rotterdam » sur une musique R’n’B, comme il le rappe sur sa dernière mixtape, Ripro, sortie le 7 février. Après avoir proposé le bar de l’Hôtel Sinner, « le pécheur » en français, Lacrim s’est replié sur La Maison de l’Aubrac, une brasserie qu’il fréquente pour manger de la bonne viande et boire du bon vin à côté de son domicile parisien.

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