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Comment aborder le passage du temps en bande dessinée ? Que dire, que montrer ? Et que dévoiler de soi ? De plus en plus d’auteurs et d’autrices graphiques investissent, dans leurs œuvres, les questions de l’intime au sens large. Coïncidence du calendrier littéraire, la maison d’édition Dargaud a publié au mois de janvier trois albums de dessinatrices, Aude Picault, Cati Baur et Florence Cestac.

Lire le compte-rendu : Article réservé à nos abonnés Trois autrices en lice pour le Grand Prix du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême

Plusieurs fils relient leurs dernières publications en date, respectivement Moi je. Quarantaine (124 pages, 19,50 euros), Marcie. Le point de bascule (144 pages, 20,50 euros) et Le Démon de mamie ou la sénescence enchantée (64 pages, 17 euros). Chacune à sa manière, elles offrent de drôles de tranches de vie, de la crise de la quarantaine aux délices de la vieillesse. Alors que le 52e Festival international de la bande dessinée d’Angoulême bat son plein jusqu’au 2 février, elles reviennent sur la genèse de leurs récits.

Aude Picault, le quotidien expiatoire d’une quadragénaire

Avec Moi je. Quarantaine, Aude Picault signe le troisième volet d’une série commencée en 2005 avec Moi je et poursuivie, deux ans plus tard, avec Moi je. Et cætera. On y retrouve avec plaisir son alter ego de papier, cette fois-ci confrontée aux pannes d’inspiration, au train-train ainsi qu’aux joies et aux peines de sa vie de mère.

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