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Histoires Web mardi, avril 15
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Il arrive parfois que l’on se dise, après avoir vu la deuxième saison d’une série, que l’on pourrait écrire la même critique que pour la première, sans que l’on ait toutefois l’impression d’avoir vu la même chose. C’est, pour la saison 2 de The Last of Us, un compliment, qui devrait convaincre ceux qui seraient passés à côté de cette fiction de se mettre à la page. Elle a été adaptée par Neil Druckmann, en s’inspirant de son propre jeu vidéo, en collaboration avec Craig Mazin, le créateur de Chernobyl, en 2019). Plus qu’une épopée survivaliste, The Last of Us est la preuve que deux formes esthétiques, la série et le jeu vidéo, peuvent se nourrir plutôt que se cannibaliser.

Cette nouvelle saison, qui se déroule environ six ans après la précédente, s’ouvre sur la ville autonome de Jackson, dans le Wyoming, où Joel (Pedro Pascal) et Ellie (Bella Ramsey) ont trouvé refuge après leur traversée des Etats-Unis. Du haut de ses 19 ans, la jeune femme revendique une farouche indépendance et semble nourrir une agressivité larvée envers l’homme qui l’élève pourtant comme la fille qu’il a perdue en 2003, dans les premiers jours de l’attaque du cordyceps. Ce champignon mutant a infecté la planète et transformé l’essentiel de l’humanité en de redoutables zombies, dont on découvre, au début de la saison, qu’ils sont, en plus, capables de survivre congelés dans la glace.

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