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Le plan évoquait 636 suppressions de postes sur sept sites. Au bout du compte, trois sites sont principalement concernés par les conséquences du « projet de réorganisation » annoncé le 23 avril par ArcelorMittal, ont appris mercredi 30 avril les représentants des salariés lors d’un comité social et économique central (CSEC) : Dunkerque (Nord), Florange (Moselle) et Basse-Indre (Loire-Atlantique).

Le plan consistera bien en la suppression de 636 postes, et en la création de 35. Mais le groupe siderurgiste a précisé qu’en fonction « des postes déjà vacants », il pourrait être limité à 385 « suppressions d’emplois potentielles », c’est-à-dire des licenciements. « Ce chiffre va continuer d’évoluer à la baisse en fonction des reclassements et mobilités internes qui seront mis en œuvre », indique ArcelorMittal dans un communiqué.

Selon des sources syndicales, Dunkerque subirait la coupe la plus forte : 295 postes doivent être supprimés. Le site, l’un des plus importants hauts fourneaux d’Europe, compte 3 200 salariés. Avec la suppression de 10 intérimaires, les postes vacants et la mobilité interne, cela pourrait se traduire par 162 licenciements, calcule la direction.

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