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Histoires Web dimanche, avril 13
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Dans le sillage d’un contingent record de quatorze joueurs français en NBA – emmené par Victor Wembanyama aux San Antonio Spurs –, les entraîneurs français tentent à leur tour de s’implanter dans l’ultraconcurrentielle ligue nord-américaine de basket.

« La touche française intrigue », expose Max Lefèvre, assistant coach des Minnesota Timberwolves – où évolue le pivot Rudy Gobert. Mais les techniciens internationaux – quelle que soit leur nationalité – n’ignorent rien des difficultés à intégrer la « grande ligue », dont la saison régulière s’achève dimanche 13 avril. « Les Américains sont encore plus cocardiers dans le coaching qu’au niveau des joueurs. Ils ont beaucoup de fierté à inculquer le basket », résume Guillaume Vizade, l’entraîneur du Mans (en championnat de France), qui garde un contact permanent avec « cet autre monde ».

La NBA s’est ouvert au reste du monde à l’orée des années 2000, sur l’initiative de l’ancien commissionnaire David Stern, mais les franchises et leurs propriétaires demeurent peu enclins à faire confiance aux entraîneurs internationaux, dont la culture basket diffère. Seules deux des trente équipes NBA sont dirigées par des Européens : les Brooklyn Nets, avec l’Espagnol Jordi Fernandez, et les Memphis Grizzlies, avec le Finlandais Tuomas Iisalo, passé par Paris l’an passé et promu il y a deux semaines.

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