Martine serait-elle la meilleure ambassadrice que la France ait connue ? Après avoir sillonné le Musée du Louvre, le château de Versailles, baroudé à travers la Bretagne et flâné dans Paris, l’héroïne de la littérature jeunesse imaginée en 1954 met le cap sur la Côte d’Azur.
Paru en avril dans le cadre d’un partenariat entre Casterman et Côte d’Azur France Tourisme, ce soixante-cinquième album a été pensé comme un guide touristique. Martine y découvre le marché du cours Saleya à Nice, les criques d’Antibes, la place aux Herbes à Grasse, la maison de Jacques Prévert – « La Miette » –, à Saint-Paul-de-Vence, le palais de Carnolès à Menton, le parc national du Mercantour, et se rêve même en star de cinéma sur le tapis rouge du Festival de Cannes…
Autant de destinations que l’on retrouve cartographiées à la fin de l’album pour ceux qui souhaiteraient marcher dans les pas de l’héroïne de leur enfance. Depuis 2021, Martine a pris un nouveau virage tant sur le plan éditorial qu’artistique : ses aventures s’ancrent dans des sites géographiques bien réels, tandis que les illustrations mêlent allègrement dessins et photos de décors de cartes postales.
Il vous reste 64.62% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.