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Histoires Web mercredi, mars 12
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Le Paris Saint-Germain tient peut-être l’un des plus beaux exploits de son histoire. Battu en huitièmes de finale aller par Liverpool (0-1), le club de la capitale est parvenu à renverser la situation, mardi 11 mars, lors du match retour sur la pelouse des Reds. A Anfield, les joueurs de Luis Enrique sont allés chercher cette qualification pour les quarts de finale à l’issue de la séance des tirs au but (1-0, 4-1 t.a.b.), au cours de laquelle Gianluigi Donnarumma a brillé.

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Le PSG avait pris l’avantage par Ousmane Dembélé très tôt, dans une rencontre au cours de laquelle il a parfois énormément souffert. Mais les Parisiens ont aussi mis à mal les joueurs d’Arne Slot, l’équipe la plus impressionnante du continent depuis le début de la saison. Au tour suivant, Paris affrontera Aston Villa ou le Club Bruges. Avec ce succès retentissant, le club se place en favori pour la victoire finale dans la compétition.

Ce qu’il faut retenir

  • Le cador. Gianluigi Donnarumma

Pour sa toute première séance de tirs en Ligue des champions, le PSG a pu compter sur Gianluigi Donnarumma, qui a repoussé les tentatives de Darwin Nunez et Curtis Jones. Dans le temps réglementaire, le gardien italien a été décisif en réalisant plusieurs arrêts mais a surtout été omniprésent dans le jeu aérien, l’un des points forts des Reds et, certainement, son plus grand défaut.

12e, 0-1 : contre le cours du jeu, les Parisiens marquent grâce à Ousmane Dembélé. Ce dernier lance Bradley Barcola dans la profondeur, côté droit, qui remet le ballon au centre à ras de terre. Dembélé profite d’une mésentente entre Ibrahima Konaté et Alisson pour pousser le ballon dans les buts vides.

Tirs au but : les quatre Parisiens qui s’élancent – Vitinha, Gonçalo Ramos, Dembélé et Doué – transforment leur tentative tandis que Donnarumma repousse celles de Nunez et Jones.

  • La phrase. « Le 11 mars, c’est une journée spéciale pour nous, c’est Chelsea, c’est Dortmund et Liverpool. Tous les cinq ans, il y a quelque chose, c’est un jour spécial », Marquinhos au micro de Canal +.

Comme en 2015 face à Chelsea puis en 2020 contre le Borussia, le PSG a décroché, le 11 mars, une nouvelle qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions, au terme d’une double confrontation très indécise.

Il a manqué un peu plus de buts pour que ce match obtienne une meilleure note, dans notre barème qui va de A à E. Mais ce huitième de finale retour a offert un suspense haletant de bout en bout, de nombreuses occasions et une séance de tirs au but irrespirable. De quoi mériter ce joli B +.

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