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Histoires Web dimanche, février 23
Bulletin

« C’est comme si j’avais loupé le wagon du renouveau érotique », résume Alexandra dans un souffle agacé. Longtemps « hyper à l’aise » avec des habitudes que cette chargée de communication qualifie, mi-blagueuse mi-sérieuse, de « traditionnellement » orientées vers la pénétration vaginale, cette Francilienne confie s’être peu à peu sentie « larguée », à mesure que son entourage tressait les lauriers de « jouets » consacrés à la masturbation féminine – dont les ventes se sont envolées depuis les confinements liés au Covid-19.

A force d’être répétés, ces commentaires élogieux à propos d’accessoires pour lesquels cette trentenaire n’a jamais eu « ni curiosité ni penchant » ont fait germer dans son esprit une interrogation brûlante : « Après m’être justifiée pour la vingtième fois, en expliquant que, non, les sextoys à aspiration clitoridienne n’étaient pas “mon truc”, je me suis sentie bloquée dans la posture peu glamour de pantouflarde du sexe – par manque d’esprit d’aventure, peut-être… »

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