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Dans le tourbillon des annonces, des menaces et des mises en scène qui ont marqué le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, le Moyen-Orient n’a pas été oublié. Il n’a fallu qu’une poignée de jours pour que Donald Trump donne des gages attendus de ligne pro-israélienne, dans la continuité de son premier mandat (2017-2021). Le premier dirigeant étranger attendu à Washington est d’ailleurs le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, mardi 4 février.

Mais Donald Trump s’est dit aussi disponible pour des négociations avec l’Iran, l’ennemi absolu de l’Etat hébreu. Le périmètre de ces négociations reste à préciser : s’agirait-il seulement du programme nucléaire iranien, dont l’avancée est alarmante, ou bien aussi de l’arsenal balistique et de la sécurité régionale ?

Pendant la campagne, Donald Trump a promu l’idée d’une « pression maximale » sur Téhéran, de nature économique, promettant d’empêcher le régime d’accéder à la bombe. Sa disponibilité à négocier est une ouverture notable mais fragile, venant de la part de celui qui avait retiré les Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien (Joint Comprehensive Plan of Action – JCPoA), en 2018, trois ans après la signature de ce dernier.

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