« Le succès du MMA s’explique aussi par une forme d’identification »

A 38 ans, Francis Ngannou n’a plus rien à prouver dans l’octogone. Après un pas de côté dans la boxe – deux combats et deux défaites –, l’athlète de 1,93 mètre, champion des poids lourds de l’UFC (Ultimate Fighting Championship, la principale ligue mondiale) pendant deux saisons, a réussi son retour dans le MMA (mixed martial arts, ou arts martiaux mixtes), en l’emportant face au Brésilien Renan Ferreira, le 19 octobre à Riyad. Désormais champion du monde des poids lourds d’une autre organisation, PFL-Bellator, le Franco-Camerounais se confie sur ce sport, qui exige à ses yeux « un dépassement de soi ».

On assiste à une explosion du MMA en France. Comment analysez-vous le succès de ce sport de combat ?

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