« Le Secret des secrets » (The Secret of Secrets), de Dan Brown, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Dominique Defert et Carole Delporte, JC Lattès, 704 p., 25,90 €, numérique 17 €.
Avec plus de 250 millions de romans vendus dans le monde, traduits en 56 langues, Dan Brown est l’un des auteurs les plus lus de la planète. C’est son quatrième roman, Da Vinci Code (2003 ; JC Lattès, 2004), qui a fait de lui un phénomène éditorial. Le romancier américain adoptait alors un genre bien particulier, qui avait connu son heure de gloire dans la première moitié du XXe siècle : le thriller ésotérique, récit fantastico-policier dans lequel un « détective de l’occulte » enquête sur des sociétés secrètes ou des phénomènes paranormaux. Chaque aventure de la saga « Robert Langdon », nom du professeur de symbologie qu’on retrouve notamment dans Da Vinci Code, donne donc lieu à une enquête sur un mystère touchant aux complots d’Etat et aux légendes urbaines.
Son nouveau livre, Le Secret des secrets, qui paraît simultanément dans une vingtaine de pays, est publié en France aux éditions JC Lattès, lesquelles annoncent un tirage de 500 000 exemplaires. Le titre reprend ce qui a fait le succès des précédents romans de Dan Brown. Langdon, en voyage à Prague avec sa petite amie, Katherine, est mêlé à une machination qui vise le manuscrit de cette dernière. Katherine se présente comme une spécialiste de la « noétique », cette pseudoscience censée conférer à la conscience humaine un pouvoir illimité sur le réel. Elle étudie les phénomènes paranormaux, telles la perception extrasensorielle ou les expériences de mort imminente.
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