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Il va parler. Mais que peut-il dire ? Dimanche 26 janvier, Edouard Philippe, candidat officiel à la présidence de la République en 2027 – ou avant si l’occasion devait se présenter – s’avancera sur l’estrade du Palais des congrès de Bordeaux. Ce rendez-vous est une première date d’une série de meetings qui se tiendront également à Lille et à Marseille, dans le cadre du congrès de son parti, Horizons.

Le « grand » homme (1,90 m) en profitera pour distiller ses projets, sa vision du pays et, peut-être, son sentiment sur la situation politique actuelle. Pas plus. « Il est important d’être en agilité intellectuelle. Personne ne sait quels seront les sujets au-dessus de la pile dans deux ans », décrypte l’eurodéputé Gilles Boyer, ami, lieutenant et stratège du maire du Havre.

Edouard Philippe est prudent, conscient que tout faux pas pourrait le disqualifier pour la course à l’Elysée. Mais « on doit entendre sa voix », pousse Christelle Morançais, présidente du conseil régional des Pays de la Loire qui a rejoint le parti « philippiste » en février 2024 et qui en occupe désormais la vice-présidence. L’ancienne membre du microparti du très radical Guillaume Peltier, La Droite forte, devrait aussi s’exprimer à Bordeaux pour illustrer la féminisation d’un parti jusqu’ici assimilé à un « boys club ». Il s’agit de montrer que « ça bosse », dit-elle.

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