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Et si la large victoire de Chelsea aux dépens du Paris Saint-Germain (PSG), 3-0, en finale de la Coupe du monde des clubs, dimanche 13 juillet, allait bien au-delà d’une belle performance sportive ? Est-elle, comme l’estime The Independent, de nature à « justifier l’existence » même d’une compétition qui n’était jusqu’alors qu’un rendez-vous périphérique ? De nombreuses critiques et controverses entouraient cette première édition du tournoi, désormais quadriennal et élargi à 32 équipes – contre sept auparavant –, « considéré par beaucoup comme un ajout inutile à un calendrier footballistique déjà surchargé, avec le président de la FIFA [la Fédération internationale], Gianni Infantino, qui se met en avant dans le but d’obtenir des avantages politiques personnels », pose le quotidien britannique.

L’instance « s’est donné beaucoup de mal » pour faire de cette dernière affiche du Mondial un « spectacle », souligne le quotidien américain The Washington Post, et laisser aux spectateurs un sentiment de réussite. Des performances d’artistes, à l’instar de Coldplay, Doja Cat ou Robbie Williams, en marge du match ; la présence du président des Etats-Unis, Donald Trump – sifflé au moment de la remise du trophée… Fallait-il encore que ledit spectacle se prolonge sur la pelouse du MetLife Stadium.

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