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Des records d’affluence, une organisation sans faute note, une ambiance bon enfant et du spectacle sur les pelouses. L’Euro féminin de football, en Suisse, va connaître son épilogue, dimanche 27 juillet, au Parc Saint-Jacques de Bâle, avec la finale entre l’Angleterre et l’Espagne (coup d’envoi à 18 heures).
Les Lionesses, tenantes du titre, opposées à la Roja, championne du monde, comme ultime duel : les organisateurs auraient-ils pu rêver plus belle affiche pour clore vingt-cinq jours d’une compétition qui restera assurément comme une réussite ? D’autant que les locaux ont pu profiter du beau parcours de leur sélection, la Nati, quart de finaliste – le meilleur résultat de son histoire dans un tournoi majeur.
Dans les rangs de l’UEFA, l’instance européenne du ballon rond, on savoure. La précédente édition du championnat d’Europe des nations, en 2022 en Angleterre, avait déjà prouvé un intérêt croissant pour le football au féminin. Cette année-là, un total de 574 875 fans s’étaient pressés dans les tribunes, du jamais-vu. Ce record avait été facilité par la tenue du match d’ouverture et de la finale dans deux enceintes gigantesques, avec respectivement 68 871 spectateurs à Old Trafford, près de Manchester, et 87 182 à Wembley, près de Londres.
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