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Histoires Web mardi, février 11
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La fragile architecture de l’accord entre le Hamas et Israël vacille. La dernière déclaration de Donald Trump, lundi 10 février, pourrait lui donner le coup de grâce : « En ce qui me concerne, si tous les otages ne sont pas ramenés d’ici à samedi midi – je pense que c’est une date convenable –, je dirai : “Annulez [l’accord de cessez-le-feu] et rien ne va plus, qu’un véritable enfer se déchaîne” », a-t-il dit à la presse depuis la Maison Blanche.

Le président américain réagissait aux menaces du Hamas de reporter la libération des otages programmée samedi, selon le calendrier prévu dans l’accord. Le mouvement islamiste palestinien accuse Israël de violer le cessez-le-feu « en retardant le retour des déplacés de la bande de Gaza, en les ciblant par des bombardements et tirs dans diverses zones de la bande et en n’autorisant pas l’entrée de fournitures de secours », a affirmé le porte-parole du Hamas, Abou Obeida, dans un communiqué publié lundi. Le mouvement a ensuite assuré que « la porte rest[ait] ouverte » pour que la libération des otages « se déroule selon le plan prévu une fois qu’[Israël] se sera acquitté de ses obligations », et fustigé les propos de M. Trump qui ne font que « compliquer les choses ».

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