Dans son discours à la tribune des Nations unies, le président américain, Donald Trump, a réitéré, le 23 septembre, sa volonté d’un « cessez-le-feu » à Gaza.
Il s’en est de nouveau pris aux pays qui, comme la France, ont reconnu ces derniers jours l’Etat de Palestine et à ceux qui seraient tentés de se joindre à cette initiative. « Cela reviendrait à récompenser les terroristes du Hamas pour les atrocités commises (…), notamment les atrocités du 7-Octobre », a-t-il de nouveau affirmé alors que « le Hamas refuse de libérer les otages, il refuse tout cessez-le-feu ».
En ouverture de l’Assemblée générale, Antonio Guterres le secrétaire général de l’ONU, a, quant à lui, condamné les actions d’Israël. « Rien ne peut justifier la punition collective infligée au peuple palestinien ni la destruction systématique de Gaza. »
Contribuer
Réutiliser ce contenu
L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.