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La remise en cause de la gestion et de l’utilisation de l’enquête menée en 2023 par l’inspection générale de l’éducation nationale sur le collège Stanislas, à Paris, prend de l’ampleur. Après un premier courrier envoyé mardi 29 avril par une inspectrice retraitée à la commission d’enquête parlementaire sur les modalités du contrôle par l’Etat et de la prévention des violences dans les établissements scolaires, une deuxième inspectrice, elle aussi à la retraite, a également fait parvenir une lettre aux députés, vendredi 2 mai.

Selon les informations du Monde, elle y confirme les questionnements de sa collègue sur « l’indépendance » des inspecteurs dans le déroulé de la mission, ainsi que des désaccords entre les inspecteurs – au nombre de quatre, dont un « pilote », auxquels s’ajoute un inspecteur « relecteur ». Elle y conteste surtout elle aussi la conclusion qui a été retenue de leur enquête dans une lettre signée par la cheffe de l’inspection générale de l’époque, Caroline Pascal, et qui écartait les « faits d’homophobie, de sexisme et d’autoritarisme » dont était accusé le prestigieux établissement privé catholique sous contrat dans plusieurs articles de presse.

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