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Histoires Web vendredi, janvier 31
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L’épisode a marqué les esprits et pourrait laisser des traces. Après avoir brandi sa démission, jeudi 9 janvier, Emmanuel Bonne, le chef de la cellule diplomatique de l’Elysée, s’est ravisé, convaincu par Emmanuel Macron de rester à son poste, du moins jusqu’à nouvel ordre. Huit jours après, il a d’ailleurs accompagné le chef de l’Etat au Liban, après avoir démenti toute divergence avec lui, se targuant, chose rare par les temps qui courent, d’être un « macroniste pur et dur ».

Au passage, le « sherpa » s’est bien gardé de faire le moindre commentaire sur l’origine de son coup de sang, à savoir ses relations plus que dégradées avec le chef d’état-major particulier du président, le général Fabien Mandon. Avant un dîner à Londres entre Emmanuel Macron et Keir Starmer, le premier ministre britannique, ce 9 janvier, M. Mandon n’avait pas mis M. Bonne dans la boucle d’une note confidentielle préparatoire au déplacement. D’où la colère de l’intéressé. Des « chicayas », ironise un haut gradé, avant de mettre en cause cette « démarche en solo » et appeler à travailler « en équipe ».

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