Meilleures Actions
Histoires Web mercredi, février 12
Bulletin

Il est venu, il a parlé, puis il a quitté le Grand Palais, sans écouter les discours de ses homologues : les premiers pas européens du vice-président américain, J. D. Vance, ont frappé les esprits, mardi 11 février, à l’occasion du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA). Devant Emmanuel Macron et le premier ministre indien, Narendra Modi, qui coprésidaient la conférence, le républicain a d’emblée affirmé que « les Etats-Unis sont les leaders dans l’IA et entendent le rester ».

Puis il a sonné la charge à la fois contre la « censure » de la part des régimes autoritaires, en visant sans la nommer la Chine, mais aussi contre les velléités du Vieux Continent de réguler ces technologies en plein essor. Le tout au nom de la défense de la « prospérité » et du « free speech », la liberté d’expression sans limite chère à l’administration Trump. La veille au soir, lors d’un dîner organisé à l’Elysée avec les dirigeants et patrons présents à Paris, l’ancien colistier de Donald Trump n’avait pas non plus attendu le dessert pour s’éclipser, avant même le discours du vice-premier ministre chinois Zhang Guoqing.

Il vous reste 86.89% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Share.
© 2025 Mahalsa France. Tous droits réservés.