Meilleures Actions
Histoires Web mardi, mai 6
Bulletin

Il y avait un fond de gourmandise dans la voix du chef d’enquête de la brigade de répression du banditisme (BRB) venu rendre compte, lundi 5 mai devant la cour d’assises de Paris, du travail de son équipe dans l’affaire du braquage de Kim Kardashian. On a beau avoir « trente-cinq ans de BRB », comme Michel Malecot, ce n’est pas tous les jours qu’on se retrouve chargé de traquer les hommes cagoulés qui ont séquestré une star américaine de téléréalité dans la suite d’un hôtel parisien et l’ont dépouillée de 9 millions de dollars de bijoux (environ 7,9 millions d’euros).

Du témoignage de Kim Kardashian qui les reçoit, « très choquée », dans sa suite, le 3 octobre 2016, à 4 heures du matin, et de celui du veilleur de nuit de l’hôtel, Abderrahmane Ouatiki, retrouvé menotté dans l’escalier du rez-de-chaussée, il ressort que l’équipe de braqueurs comprenait un « petit nerveux à lunettes épaisses » et un autre « plus gentil » qui sont montés à l’étage, tandis que trois complices restaient dans le hall. Le veilleur de nuit ajoute un précieux détail : il a aperçu des vélos, dont un pliable, à petites roues.

Il vous reste 82.09% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Share.
© 2025 Mahalsa France. Tous droits réservés.