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Dans un contexte international et national très compliqué, la ministre de la transition écologique Agnès Pannier-Runacher est montée au créneau, mardi 28 janvier, lors de ses vœux. Sous la verrière de la Grande Galerie de l’évolution du Museum national d’histoire naturelle, à Paris, elle a axé son discours sur les périls politiques qui menacent le défi environnemental en « 2025, l’année de tous les dangers ».

« Nous sommes confrontés à la montée des populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux, a-t-elle lancé, huit jours après l’investiture du climatosceptique Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. A les entendre, c’est elle qui plomberait notre compétitivité. (…) Elle, toujours, qui serait responsable des difficultés de pouvoir d’achat dans notre pays. Elle, enfin, qui porterait atteinte à nos libertés et à notre souveraineté… »

Décrivant, au contraire, l’écologie comme une « inévitable solution » pour préserver les emplois et la souveraineté d’une France dépendante de ses importations fossiles et plongée dans un monde « non coopératif », la ministre de la transition écologique en a profité pour répondre une nouvelle fois aux attaques d’une partie de son camp, de la droite et de l’extrême droite qui fustigent les opérateurs de l’Etat, surtout ceux liés à l’environnement.

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