La Cour de cassation a rejeté, mardi 15 octobre, le « rétablissement de l’honneur » de Jacques Fesch, un détenu guillotiné en 1957 pour le meurtre d’un policier, trois ans plus tôt. La plus haute juridiction a estimé que « les éléments analysés pris dans leur ensemble ne constituent pas des gages d’amendement suffisants ».
La Cour de cassation avait examiné, le 6 juin, le cas de Jacques Fesch. En 2018, son fils avait déposé une requête en réhabilitation judiciaire, qui avait été rejetée. En 2023, il a saisi la chambre criminelle de la Cour de cassation d’une requête en rétablissement de l’honneur de son père en s’appuyant sur le repentir de son père et le chemin spirituel qu’il a emprunté.
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