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Histoires Web vendredi, octobre 17
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Si certains en doutaient encore, il n’y a pas que des saxophones et des trompettes au Nancy Jazz Pulsations (NJP). Lancé en 1973, le festival lorrain, qui se tient sur deux semaines chaque début d’automne, ouvre depuis des décennies sa programmation à d’autres styles musicaux, allant logiquement vers les musiques du monde, le rock, le rap puis l’électro.

Pour sa 52e édition, qui a débuté le 4 octobre et se terminera le samedi 18, les spectateurs du NJP ont pu entendre la chanteuse de jazz américaine Dee Dee Bridgewater, le pianiste canadien Chilly Gonzales, mais aussi l’héritier de l’afrobeat Femi Kuti ou les rappeurs Oxmo Puccino et Jolagreen23. Une édition particulière, qui a vu le départ à la retraite du président et cofondateur du festival, Claude-Jean Antoine, mais aussi le licenciement de son directeur et programmateur, Thibaud Rolland, a qui il a été reproché un « management toxique ». Mais une édition qui ne dérogeait pas à cette règle de l’éclectisme.

Avec UTO, Mezerg et Myd, la soirée du jeudi 16 octobre était réservée à l’électro française sous le chapiteau installé dans le grand parc de la Pépinière, à quelques mètres de la belle place Stanislas.

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