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Histoires Web mardi, septembre 23
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Le Paris Saint-Germain (PSG) a triomphé, lundi 22 septembre. Mais à Paris seulement, sous les ors du Théâtre du Châtelet, où se déroulait la cérémonie du Ballon d’or. Un trophée remporté par son attaquant international, Ousmane Dembélé.

A quelques centaines de kilomètres de là, la soirée a apporté une autre nouvelle, plus inattendue. Elle est venue de l’antre du Stade-Vélodrome, surchauffée par plus de 66 000 spectateurs. En battant le PSG (1-0) dans un match reporté la veille pour cause de déluge, l’Olympique de Marseille (OM) a montré que les intouchables Parisiens ont peut-être trouvé un rival en Ligue 1 pour cette saison 2025-2026. Une contestation sportive qui vient nourrir une autre bataille : celle lancée par les dirigeants phocéens contre l’hégémonie dans le football professionnel français du club dirigé par Nasser Al-Khelaïfi.

A la question de savoir si l’OM est une menace crédible pour le titre de champion de France, l’entraîneur parisien, Luis Enrique, ne répond pas clairement. « Je ne suis pas devin… C’est normal de perdre quelques matches dans la saison », a éludé celui qui, quelques minutes plus tôt au Châtelet, avait été désigné meilleur entraîneur de l’année. « Battre le PSG était un rêve pour moi. [Paris] représente le pouvoir, une équipe qui gagne depuis quelques années sans vraiment de rival. Et moi, le pouvoir, je n’aime pas ça », recadrait quelques minutes plus tard son homologue marseillais, Roberto De Zerbi, qui a vécu les dernières minutes de la rencontre derrière son banc, expulsé par l’arbitre, l’imperturbable Jérôme Brisard.

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