Meilleures Actions
Histoires Web mardi, septembre 16
Bulletin

Entre l’audition concluante, où Théodore Pellerin était arrivé penaud, s’excusant d’un retard pourtant minuscule, et le premier jour de tournage de Nino, une année et demie a filé. Que faire durant un tel laps de temps ? « Surtout, rien », a répondu la réalisatrice, Pauline Loquès, à l’acteur québécois, interloqué.

Documentation, cours de danse, visites de lieux sur les traces des protagonistes (un pensionnat, une compagnie de théâtre, une fête chez Paris Hilton à Los Angeles)… Laborieux, il affectionne d’ordinaire les préparations appliquées jusqu’à trouver la connexion avec un rôle, guettant « une épiphanie », un déclic. « Jouer dans un état de peur ou d’appréhension m’est absolument impossible, souligne-t-il d’emblée. J’ai besoin, pour atteindre la spontanéité devant la caméra, de me mettre dans une quête, de trouver un chemin entre le personnage et moi. »

Il vous reste 88.46% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Share.
© 2025 Mahalsa France. Tous droits réservés.