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Histoires Web dimanche, avril 20
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Devant quelques centaines de personnes, mercredi 16 avril, sur la place de Tel-Aviv où se réunissent les familles des otages, Ilana Gritzewsky, 31 ans, a raconté une nouvelle fois son enlèvement, le 7 octobre 2023, les attouchements sexuels pendant son transfert vers Gaza puis les jours et les nuits de terreur. « J’ai perdu 11 kilos en cinquante-cinq jours. Je souffre de gastrite et de colite, et pendant toute la durée de ma captivité, je vomissais, j’avais la diarrhée et je m’évanouissais constamment. » La veille, au même endroit, Moran Stela Yanai, 41 ans, et Noga Weiss, 19 ans, avaient décrit la souffrance psychologique endurée. L’avant-veille, c’était Meirav Tal, 55 ans, les jours d’avant, c’étaient les mères, pères, frères, sœurs d’otages morts ou encore retenus – 24 présumés vivants, 35 présumés morts, sur les 251 enlevés le 7 octobre 2023 par le Hamas et le Jihad islamique palestinien.

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La « place des Otages », à Tel-Aviv, demeure le cœur battant d’une mobilisation qui devrait renaître plus fortement après la fin des vacances de Pessah, la Pâque juive, samedi, alors que le compteur des jours – 561 depuis l’attaque terroriste du 7-Octobre – tourne sur les téléviseurs, sur les sites Internet et dans le cerveau de millions de juifs israéliens.

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