Le premier ministre Sébastien Lecornu a souhaité, samedi 11 octobre, nommer « un gouvernement libre », comprenant des personnalités « avec des sensibilités partisanes, mais pas emprisonnées par les partis », en répétant qu’il n’avait pour lui-même « pas d’agenda » ni « d’autre ambition que de sortir de ce moment » qu’il a jugé « assez pénible pour tout le monde ».

Le premier ministre a dit « comprendre toutes les incompréhensions » quant à sa reconduction à la tête du gouvernement, mais a justifié son retour par l’« urgence à avoir des textes économiques et financiers ». Face à « la difficulté de la mission (…), je n’ai pas le sentiment qu’il y avait beaucoup de candidats », a-t-il ajouté.

Assurant qu’il « respecte » la décision du chef de LR Bruno Retailleau de ne plus participer au gouvernement, il a promis à destination du Parti socialiste que « tous les débats sont possibles » concernant la réforme des retraites, dont le parti à la rose réclame la suspension « complète et immédiate ».

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