Dans le quartier de Dizengoff, à Tel-Aviv, des groupes ont dansé et chanté dans la nuit deux refrains entonnés en permanence, depuis deux ans, sur la « place des otages » : I’m coming home, un ancien tube populaire auprès des vétérans américains, et Bashama Haba’a (« La paix l’année prochaine »), une mélodie classique, synonyme d’espoir. Dans la rue, une jeune femme a crié, en anglais : « La guerre est terminée ! » Israël aurait voulu que cette journée « historique » du lundi 13 octobre ne se termine jamais tant la libération des vingt otages vivants a provoqué une forme de communion nationale. Un moment rare. Un moment bref.
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