
Elles tiennent toutes à être là. Quand les habituelles interviews de groupes de rock se limitent généralement à un échange avec un ou deux porte-parole, une rencontre avec les Anglaises de The Last Dinner Party se fait avec tout le quintette ou ne se fait pas. Certaines sont plus extraverties – la chanteuse Abigail Morris ou la bassiste d’origine australienne Georgia Davies –, d’autres plus réservées – telles la claviériste Aurora Nishevci ou les guitaristes Lizzie Mayland et Emily Roberts. Mais toutes participent, relancent les copines et rigolent en chœur avec une réjouissante complicité.
En cette fin de matinée du mois de juillet, près de la place du Panthéon, à Paris, leurs tenues sont moins extravagantes que dans leurs clips ou qu’en concert. Mais on perçoit dans leur bruyante camaraderie l’envie de s’amuser. Cette énergie collective qui, après avoir fait triompher leur premier album, Prelude to Ecstasy, numéro 1 en Grande-Bretagne dès sa sortie, en février 2024, crée pas mal d’attente autour de From the Pyre, à paraître le 17 octobre.
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