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    Home » Suicide d’adolescents : quelle part de responsabilité des réseaux sociaux ?

    Suicide d’adolescents : quelle part de responsabilité des réseaux sociaux ?

    PersonnelPar Personnelseptembre 18, 2023Aucun commentaire4 mins lecture Santé
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    Deux ans après le suicide d’une adolescente qui évoquait sur TikTok le harcèlement dont elle était victime, ses parents portent plainte contre la plateforme. Selon eux, l’algorithme du réseau social aurait engendré sur le compte de Marie l’arrivée d’autres vidéos du même thème. Des spécialistes estiment néanmoins que la responsabilité d’un tel drame ne peut être uniquement attribuée aux réseaux sociaux.

    16 septembre 2021. Marie, 15 ans, se suicide à Cassis, dans les Bouches-du-Rhône. Avant ce drame, comme beaucoup d’adolescents, la jeune fille passait du temps sur la plateforme TikTok. Quelques semaines avant sa mort, elle publie une vidéo pour évoquer le harcèlement scolaire qu’elle subit à propos de son poids. La publication engendre, par le biais des algorithmes, l’arrivée d’autres vidéos sur le même thème sur son compte. 

    Deux ans plus tard, le 8 septembre, les parents de Marie ont décidé de porter plainte contre TikTok pour provocation au suicide, non-assistance à personne en péril et propagande ou publicité des moyens de se donner la mort, selon les informations de franceinfo. Une première en France. 

    >> Harcèlement scolaire : les géants du Net “ont leur part de responsabilité”, estime une spécialiste en éducation numérique

    “TikTok a évidemment sa part de responsabilité”

    Pour Laure Boutron-Marmion, avocate des parents de Marie, “TikTok a évidemment sa part de responsabilité dans le passage à l’acte. Les plateformes, les réseaux sociaux, jouent un rôle face à un adolescent qui est déjà en extrême fragilité psychologique du fait du harcèlement qu’il subit”.

    “Par l’algorithme, l’adolescente a reçu en masse ces vidéos qui sont sur le même thème et qui ne peuvent que conduire à être encore plus mal”

    Laure Boutron-Marmion, avocate

    à franceinfo

    Les spécialistes de la santé mentale donnent raison à l’avocate, tout en nuançant son propos. Il existe effectivement “un effet d’augmentation des taux de suicide après des expositions médiatiques”, explique le psychiatre de l’enfant et de l’adolescent Charles-Edouard Notredame. Son nom : l’effet Werther, inspiré par la vague de suicides en Europe, ayant suivi la parution du roman de Goethe, “Les Souffrances du jeune Werther”.

    >> Royaume-Uni : les réseaux sociaux reconnus responsables du suicide d’une jeune fille de 14 ans

    “A l’époque de cette parution, les expositions médiatiques, c’était les livres. Ça a évolué avec l’apparition des médias plus traditionnels, puis des transformations numériques, explique Charles-Edouard Notredame, référent scientifique du Programme national de lutte contre la contagion suicidaire (Papageno). “Déjà, parce que les publications des médias se font désormais massivement en ligne. Mais aussi par le fait que chacun puisse poster son propre contenu sur les réseaux sociaux, ce qui peut aboutir à la publication de contenus potentiellement dérégulés, qui peuvent aussi exposer à des effets Werther.”

    “Le suicide n’est jamais le fruit d’une cause unique”

    Néanmoins, un suicide ne peut, selon les spécialistes, seulement être attribué à ces publications. “La position en tant que médecin, c’est de dire que le suicide n’est jamais le fruit d’une cause unique, jamais. Il est malheureusement la résultante d’un parcours de vie”, analyse Charles-Edouard Notredame, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent. 

    Il métaphorise : “On peut réfléchir via l’image de la goutte d’eau qui fait déborder le vase : un événement qui, au dernier moment, précipite le passage à l’acte. La question qui se pose c’est : est-ce que cette goutte d’eau est responsable du passage à l’acte ?” Parfois même, les réseaux sociaux peuvent, au contraire, aider à sauver des vies, explique le psychiatre.

    “Il ne faut pas oublier non plus que, certes, il y a des influences des réseaux sociaux qui peuvent être à risque, mais aussi d’autres qui peuvent être extrêmement positives”.

    Charles-Edouard Notredame, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent

    à franceinfo

    “Il existe des jeunes qui ont été encouragés à aller consulter parce que justement, un ami leur a parlé sur les réseaux sociaux de telle ou telle ressource d’aide”. TikTok, par exemple, affiche le Numéro National Souffrance et Prévention du Suicide, 3114, dès qu’un internaute recherche le mot suicide sur la plateforme. “Mais les jeunes, notamment, ont des techniques pour détourner ces barrières. Par exemple, ils ne recherchent non plus le mot ‘suicide’ mais l’écrivent ‘su!c!de”, analyse Nathalie Pawels. Une dizaine de combines de la sorte existerait autour de ce mot sur TikTok, selon la référente du programme Papageno.

    Depuis le suicide de Marie, une enquête est ouverte sur les faits de harcèlement scolaire dénoncés. Le parquet de Toulon précise que la plainte de ses parents contre TikTok mérite une analyse approfondie.

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