« L’Homme », de Pierre Traverse, œuvre exposée sur le stand de la Galerie Mendes, lors du salon FAB Paris, au Grand Palais, à Paris, le 19 septembre 2025.

Jadis organisée par leur syndicat, lequel a été miné par des dissensions, l’autrefois prestigieuse Biennale des antiquaires a changé de nom, de date, de format. Les modifications ne se firent pas sans douleur, mais le résultat est là : après une édition 2024 encourageante (fin novembre), les organisateurs de FAB Paris, sa nouvelle appellation, d’autant plus justifiée qu’elle est devenue annuelle, ont préféré ouvrir en septembre, ce qui en fait la première foire de la saison.

Elle réunit, jusqu’au mercredi 24 septembre, une centaine d’exposants, dans toutes les disciplines ou presque que connaît le marché de l’art. Si, en France, c’est clairement la meilleure manifestation généraliste, elle est fortement concurrencée en Europe par la Brafa de Bruxelles, mais surtout par la Tefaf de Maastricht (Pays-Bas), qui domine largement le trio.

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