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Le compteur tourne à nouveau. Depuis le premier cas de grippe aviaire détecté le 11 octobre, au sein d’un élevage de faisans et de perdrix dans le Pas-de-Calais, le virus hautement pathogène continue à se propager. Le ministère de l’agriculture dénombrait 68 foyers dans des élevages de volailles, vendredi 28 novembre. Le cap des 80 a été dépassé lundi 1er décembre. L’attaque est particulièrement virulente en Vendée, où se concentrent 45 cas, et plus généralement dans les Pays de la Loire avec 65 cas. Le Sud-Ouest est plutôt épargné, même si 4 cas ont été comptabilisés en Dordogne. Au total, plus de 700 000 canards, dindes, poulets et autres volatiles, touchés par le virus, ont déjà été abattus.

« Avec les cas déclarés, la situation nous remet en tension après deux années de répit », reconnaît Marie-Pierre Pé, la directrice du Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras. Dès le 21 octobre, le niveau de risque lié à la grippe aviaire a été relevé, sur l’ensemble du territoire national, de « modéré » à « élevé », le plus haut niveau qui se traduit notamment par le confinement des volailles sauf dérogation, et le renforcement des mesures de biosécurité.

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