Près de 60 % de l’électricité chinoise dépend du minerai noir. Mais l’hydroélectricité, l’éolien, le solaire et le nucléaire représentent aussi autour de 35 % de son « mix » électrique. C’est le paradoxe chinois dans toute sa splendeur, constate Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
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