![Alexandre Astier et Anne Girouard dans « Kaamelott – deuxième volet [partie 1] », d’Alexandre Astier.](https://img.lemde.fr/2025/10/17/0/0/2194/1458/664/0/75/0/bb176da_upload-1-cj50kstwqfhb-kv-2-1-arthur-et-guenievre-achille-de-san-nicolas-regular-ab89976ea7.jpg)
L’AVIS DU « MONDE » – POURQUOI PAS
L’exercice est ingrat. Nous voilà à juger un film dont on n’a vu que la moitié de l’histoire, cette première partie du deuxième volet des aventures cinématographiques de Kaamelott s’arrêtant en plein cliffhanger. D’autant plus ingrat qu’après un premier long-métrage à l’intrigue à peu près ramassée autour d’un enjeu fort − le retour d’exil de l’ancien souverain Arthur (Alexandre Astier) −, cette suite se déploie en alternant plusieurs lignes narratives dispersées dont on peine à voir pour l’heure où elles vont mener et comment le récit va retomber ou non sur ses pieds.
Alexandre Astier avait annoncé dès la fin de la diffusion de la série Kaamelott en 2009 qu’il conclurait son récit par une trilogie de films. Le premier volet, sorti en juillet 2021, a réuni plus de 2,6 millions de spectateurs. Astier a ensuite tourné pendant huit mois ce deuxième volet découpé en deux parties − la seconde est déjà calée au 11 novembre 2026.
Il vous reste 68.74% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.