
Dans le septième volet de la franchise Jurassic Park, Jurassic World : Renaissance (en salle le 4 juillet en France), de Gareth Edwards, une experte scientifique incarnée par Scarlett Johansson accepte la mission de partir à la recherche, en Equateur, de trois dinosaures rescapés de l’extinction. Son objectif est simple : prélever des échantillons d’ADN sur les bêtes, afin de mettre au point un remède permettant de lutter contre les maladies cardio-vasculaires.
C’est un fait établi, depuis la sortie, en 1993, du premier volet de la série, Jurassic Park, de Steven Spielberg – plus de 1 milliard de dollars (870 millions d’euros) de recettes dans le monde, 6,7 millions d’entrées en France –, les dinosaures affichent une longévité exceptionnelle au box-office.
La franchise est gérée comme une start-up à succès dont le rayonnement dépasse, et de loin, le cadre de la seule salle de cinéma. Jurassic Park aujourd’hui, c’est, au-delà des superproductions, une série d’animation pour la télévision, des bandes dessinées, des romans, des expositions scientifiques, des manuels, des jouets, des jeux vidéo et des attractions dans des parcs de loisirs, dont l’une récemment ouverte à Bangkok.
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