Le 11 septembre, l’armée israélienne annonçait occuper 40 % de la ville de Gaza. Et le 15, elle déclarait lancer un assaut terrestre d’une ampleur inédite après avoir bombardé pendant des semaines la ville du nord de l’enclave et détruit méthodiquement des quartiers entiers, mais aussi les tours des zones les plus densément peuplées. Une pratique qui vise un objectif nouveau et précis : occuper la ville.

Correspondant du Monde à Jérusalem, Luc Bronner analyse cette stratégie, qui fait peser de lourds risques humanitaires sur la population de la ville de Gaza, où se sont réfugiées plus d’un million de personnes, et qui vaut à Israël de sévères critiques sur la scène internationale.

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