Mark Zuckerberg, PDG de Meta, au siège de l’entreprise, à Menlo Park (Californie), le 27 septembre 2024.

Croisés au gré de l’actualité, les chiffres du secteur de l’intelligence artificielle (IA) donnent parfois le tournis. Ainsi des 2,4 milliards de dollars (2,07 milliards d’euros) versés par Google pour attirer les quelques cadres dirigeants de la start-up Windsurf et utiliser sa technologie, ou des 200 millions de dollars de package de rémunération offerts par Meta sur plusieurs années pour débaucher Ruoming Pang, l’ingénieur qui supervisait les recherches sur les grands modèles d’IA chez Apple, rapporte Bloomberg.

Ce sont des montants dignes de LeBron James, note un journaliste de l’agence, en référence au célèbre basketteur américain au salaire annuel de 52 millions de dollars, selon ESPN (Kylian Mbappé toucherait, lui, 31 millions d’euros au Real Madrid, selon The Sun). Les spécialistes de l’IA sont désormais transférés comme des sportifs au mercato, relève avec humour un podcast consacré à la tech, « TBPN », sur X. Côté data centers, le fondateur de Meta, Mark Zuckerberg, a aussi frappé les esprits en évoquant, lundi 14 juillet, un vertigineux projet d’une puissance équivalente à cinq réacteurs nucléaires (5 gigawatts) et d’une superficie comparable à celle de l’île de Manhattan, à New York…

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