Cuisiner bon ne suffit pas, il faut cuisiner bien. Dans un entretien au « Monde », les deux chefs français Bérangère Fagart et Olivier Roellinger, soulignent que la dimension épicurienne d’un bon repas ne peut se distinguer de nouveaux comportements : le souci de la santé, le respect de l’environnement, de la faune, de la flore et des employés, l’éducation…

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